Cette après-midi, je suis tombée sur l’affiche cinématographique de ce livre pour lequel j’avais eu un énorme coup de cœur.
Je ne suis pas (encore) allée voir le film mais je me souviens encore des émotions que j’avais ressenties à la lecture de ce livre.
Donna Tart a ce talent de nous embarquer complètement pendant … 800 pages à l’instar de Luca Di Fulvio.
Dans le chardonneret, j’ai particulièrement aimé l’ode à l’amitié, l’étude de l’impact d’un traumatisme sur la vie, la place de l’art dans le roman, l’évolution des personnages, les descriptions des lieux, des atmosphères et la maîtrise incroyable de la narration.
Avec Théo, je me souviens avoir tremblée, transpirée dans le désert, voyagée à New-York et Amsterdam, pleurée, grandie.
Bref, dans ce roman, j’ai vécu (et la vie ne fut pas simple…).
J’avoue avoir lu quelques passages plus rapidement que d’autres, notamment ceux sur les bad trips, mais je n’ai jamais eu envie de le lâcher. Jamais.
De Donna Tart, j’ai aussi lu « le maître des illusions » qui est magnifique mais je lui ai préféré « Le Chardonneret », contrairement à tout le monde.
Et vous ? Vous l’avez lu ? Aimé ?
Si vous aimez plonger dans des pavés (et que vous avez -beaucoup- de temps devant vous), foncez !